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Expériences de mort imminente EME

jeudi 23 juin 2016, 10:29
D'autres infos pour que vous vous fassiez une idée.
Yves Bertrand a soutenu sa thèse de doctorat en sciences des religions en août 1997 à l'Université du Québec à Montréal sur le thème: "Le chant du signe: expériences de mort imminente et voie mystique occidentale". Il nous propose une approche originale des NDE (Near Death Experiences) et de leur empreinte sous un titre significatif. Il est aussi l'auteur de “Expériences de mort imminente“ en quatre tomes.
Quoique Raymond Moody ait affirmé dans son premier livre, La vie après la vie, que son but n'était pas de prouver la survie de la conscience après la mort, il a néanmoins (ré) ouvert le champ d'un vaste questionnement métaphysique. Ce qu'il y avait alors de nouveau résidait beaucoup moins dans la "découverte" de l'étonnante vitalité de la psyché alors même que l'organisme physique s'affaisse (1), que dans le changement du statut épistémologique de l'expérience de la mort imminente elle-même. Moody, en effet, déterminait les contours de l'expérience, en forgeait le concept et lançait le débat.
[...]
Le dialogue de sourds qui s'en est suivi a surtout tourné autour de la question suivante: peut-on intégrer l'EMI à l'intérieur du champ théorique de la science dominante (c'est à dire l'identifier comme une manifestation particulière d'un ordre de phénomènes naturels quelconque (2), ou bien doit-on adopter une nouvelle théorie (c'est à dire prôner un nouveau paradigme (3)? Et pourtant tout n'est pas aussi simple et tranché.
Les données du problème
[...]
À l'autre bout de l'horizon théorique et en réaction à cette forme de réactionnisme, les diverses interprétations transpersonnelles vont plutôt définir l'EMI comme une expérience d'expansion de la conscience. Le danger qui résiderait ici serait alors de postuler non seulement l'existence d'une autre réalité, mais également le fait que les sujets accèdent bel et bien à cette réalité. (Car même si nous adoptons le point de vue que l'expérience correspond à une plongée dans une zone de la conscience plus profonde, ce qui sera alors reçu par les sujets correspond-il nécessairement à une réalité objective et extérieure (4)? En fait, nous pouvons le croire mais nous ne pouvons pas le savoir.
Une vérification problématique
Une théorie ne peut être déclarée vraie (vérifiée) que si elle est corroborée par une série d'observations colligées de façon rigoureuse. Une des premières difficultés qui se pose à nous par conséquent est celle de la collecte des données, et ce à un double point de vue. Premièrement, comment réussir un échantillonnage vraiment scientifique - ce qui exigerait des moyens financiers, une volonté politique et la collaboration des institutions médicales, entre autres - alors même que le phénomène, s'il est reconnu, demeure sujet à caution pour la communauté scientifique? Deuxièmement, et plus fondamentalement, même si nous réussissions à établir un tel échantillonnage, il faut bien se rendre compte que nous n'aurons jamais accès à l'expérience elle-même: tout ce que nous possédons, ce sont les traces qu'elle laisse.
Nous nous trouvons donc dans l'ordre du discours et non des faits. Nous sommes d'abord confrontés aux bornes du langage elles-mêmes, les sujets retraduisant en mots et en concepts ce qui, par définition, relève de l'indicible.
Non seulement cela, mais les sujets soit:
1. Ont reçu durant l'expérience elle-même des "images" conditionnées par un contexte historique et culturel(5);
2. Soit ont interprété leurs perceptions selon les croyances et concepts véhiculés par leur milieu après leur réanimation (6). Le problème se corse encore du fait que les sujets auront tendance à réinterpréter leur expérience en interaction avec les ré-interprétations des chercheurs.
Nous avons donc affaire à des récits, et des récits qui sont reconstruits par les sujets eux-mêmes ainsi que par les chercheurs (notamment à travers les modèles normatifs qu'ils auront établis).
Outre ces difficultés, comment maintenant pouvons-nous vérifier les dires des sujets, de un, et comment allons nous les expliquer?
La question de la preuve
[...]
En ce qui a trait à l'existence d'une réalité transcendante, comment pourrions-nous même imaginer pouvoir la démontrer puisque, par définition, cette réalité échapperait à toutes les lois physiques de notre monde? (A moins, bien sûr, de construire des modèles théoriques fondés sur le postulat d'un continuum psycho-spirituel, mais en quoi cette modélisation constituerait-elle une preuve)?
Et bien, ne serait-ce pas ce que je pense et prône depuis très longtemps
Bien sûr, nous ne pourrions avancer que si expérience il y a et que si nous ne pouvons pas vérifier la réalité des perceptions reçues, nous pouvons du moins déduire l'existence d'un autre monde à partir des traces psychologiques et spirituels qu'elle laisse. Or, la question est encore une fois plus complexe. Car si nous pouvons vérifier la nature des transformations survenues chez les sujets à propos de leurs valeurs et de leurs croyances, comment allons-nous vérifier celles de leurs comportements? Or, si quelque chose à été démontrée ces dernières années, c'est bien que l'E.M.I. ne comporte aucun effet automatique et peut même conduire à des comportements de type pathologique. A cet égard, l'E.M.I. ne se distingue guère des expériences mystiques - dont elle possède plusieurs caractéristiques -, le "moment mystique" devant être considéré non pas comme un événement unique et magique, mais plutôt, pour reprendre l'expression de Michel de Certeau, comme un mot à lire dans une phrase.
Bref, tout ce que démontre l'E.M.I., c'est qu'il se passe quelque chose au plan psychique au moment de la mort, et ce quelque chose peut servir de source de sens et de support d'évolution chez les sujets. Mais ce qu'éprouvent les sujets ne prouve ni l'existence de Dieu, ni celle d'un au-delà. Mais que les sujets réanimés aient réellement ou non visité le pays des morts (qui est aussi celui des dieux), la valeur et le sens de leur expérience demeurent les mêmes. Ils ont été au-delà de la condition humaine, de ses limites, de ses contraintes et de sa relativité, et ont éprouvé en leur être ce qui constitue en soi un inconcevable et un inimaginable: l'Absolu. C'est à dire qu'ils ont eu accès à un domaine qui ne peut être ni montré, ni démontré (comme tout ce qu'il y a d'essentiel...).
NOTES
1. Jung croyait déjà que la libido, qui se divise durant le processus vital en une partie physique et une autre psychique, se réunifiait au moment de la mort, d'où un accroissement de la vitalité psychique.
2. C'est le cas, par exemple, de la théorie du psychiatre Russell Noyes qui a utilisé le concept de dépersonnalisation, que l'on retrouve dans les névroses de type hyperanxieux, afin d'expliquer le phénomène.
3. C'est ce que réclament les tenants du courant transpersonnel.
4. Ainsi, Jung se dressait-il contre la théorie "réductionniste" de Freud sur la nature des expériences mystiques en les définissant comme une expérience de rencontre direct avec les archétypes de l'inconscient collectif. Il pouvait dès lors les décrire en termes de transcendance et non plus de régression, sans pour autant être obligé de statuer sur le caractère ontologique desdits archétypes.
5. "Tout ce qui est reçu est reçu selon le mode de celui qui reçoit" disait déjà Thomas d'Aquin. Voir à ce sujet les diverses recherches transhistoriques et transculturelles qui ont été menées, et qui tendent à démontrer l'existence d'un lien entre les représentations présentes dans l'E.M.I. et le milieu culturel et historique d'origine des sujets.
6. Les perceptions peuvent-elles être "pures"? Cette question hante les études sur la mystique depuis toujours. Voir à ce sujet l'article de M.C. McLaughlin, "The Linguistic Subject and the Conscious Subject in the Mysticism Studies", Studies in religion/sciences religieuses, vol.5, n°2, 1996, p.175-192.
Texte intégral: paranormal-info.com/Des-traces-que-la-maree-efface.html
Livre: Expériences de mort imminente (épuisé)
Frontières, volume 8, numéro 3, hiver 1996.

Vibrations, formes, énergies, télépathies, égrégores, 

Vibrations, énergies, égrégores, téléphathies
samedi 18 juin 2016, 07:58
Note parue dans mon un autre blog 5 octobre 2009
Tout dans l'univers, se manifeste sous forme vibratoire ou énergétique. Vibration et énergie y sont synonymes. Si l'on se pose sur l'hypothèse de la création de l'Univers selon le "big-bang", on se dit qu'il n'y a rien, que c'est l'immense néant, le vide. Puis, tout à coup, c'est l'explosion, ce big-bang qui fait que tout commence. Mais, le big-bang, qu'est-ce sinon explosion. Qui dit explosion dit bruit, force vibratoire et donc énergie de propulsion.
Si chrétien, vous préférez le mode: “un jour Dieu dit, que la lumière soit…“ Bien sûr, la lumière fut; mais avant ce fait, il y a eu cette parole, il y a eu ce son, il y a donc ce début, ce bruit, cette vibration… Voilà comment j'explique personnellement l'existence des ondes vibratoires. Loin de toutes recherches mathématiques complexes. Je ne les nie pas, mais mon petit cerveau n'est pas capable d'expliquer théorèmes, équations et autre formule mathématiques.
Tout est conscience c'est à dire information et l'information c'est de la force, de l'énergie qui vibre sur différentes longueurs d'ondes, donc c'est de la puissance. Nous sommes tous émetteur et récepteur d'ondes invisibles que d'aucuns appellent "télépathie". Pour mesure l'activité électrique d'un cerveau on utilise l'appareil appelé "encéphalogramme". Lorsqu'il est plat, quand il n'y a pas d'activité électrique mesure, l'être est décédé.
Notre monde a toujours été régi par des forces énergétiques. L'une d'elles nous concerne particulièrement tout au long de notre existence, celle de "la forme pensée" comme le disent certaines personnes. Mais, sa forme pensée personnelle ne se détache du corps inanimé que petit à petit, dans les deux, maximum trois jours. C'est pour cette raison que l'on “ressent“ encore comme une présence vivante, la personne qui est décédée il y a peu.
Nous verrons dans la prochaine note ce qu'il advient d'un même groupe de personnes dans un même égrégore.

 


La vie après la mort

mardi 14 juin 2016, 07:50
Lundi matin 13 juin, j'ai consulté mon ophtalmo car avec les traitements durs que je prends, je dois consulter deux fois par an. Ce lundi, comme une fois par an, j'ai du réaliser deux exercices de vérification. Par hasard, et regardez comme ce petit malin fait bien les choses, je suis assise dans une salle d'attente (vide) sur ces sièges qui sont accolés (par quatre en l'occurrence) que l'on trouve dans tous les hôpitaux et centres médicaux en France. Sur le siège à côté un magazine.
Il s'agit de “Psychologies Magazine“, genre de lecture que, si l'on n'est pas dans la profession d'analyste, il vaut mieux ne pas s'abonner. Pourquoi? Les textes qui y figurent sont très ardus à intégrer et malgré la tentative d'explication le plus simpliste possible afin d'être accessible au plus grand nombre, je pense que le simple quidam ne doit pas le lire. Sauf, peut-être, si vous voyez par hasard le titre de la une et qu'il vous semble qu'un des articles peut vous aider dans un problème du quotidien. Et encore. Je dirais, pour ne pas m'attirer, à juste titre, les foudres de ce magazine qu'il vaut mieux s'abonner après 35 ans, quand la personnalité est stabilisée.
Dans ce numéro du mois de mars 2016 est traité comme sujet: le paranormal. Dès que je me trouve devant l'orthoptiste, je lui demande si je peux emporter cet exemplaire. Elle accepte volontiers. Je n'ai pas l'habitude d'emporter des magazines des salles d'attentes… mais, je consulte cette personne depuis 25 ans, alors, je me permets de lui demander cela.
Je lui explique que cela fais 33 ans que je sévis dans la profession de “voyante“ et que pour une fois que je lis dans un magazine sérieux que l'on parle du “paranormal“, j'aimerais bien lire les articles qui lui sont concédés. Je suis encore sous le coup de mon émotion “coléreuse“ d'avoir découvert que Carbonnier fait des conférences avec une “medium“ (j'en ris encore) pour certifier que la vie après la mort existe.
De même, tout le long du chemin depuis Fenouillet à la Clinique St Jean, j'en ai discuté avec “mon chauffeur“: lui croit en la vie après la mort, “un peu m'a-t-il dit, j'ai besoin de cette béquille psychologique, mais elle n'est pas très solide“, tandis que je lui ai dit: “ayant perdu ma petite sœur à côté de moi lorsque nous jouions ensemble sur le trottoir et mon papa quand j'avais douze ans –sans compter une tante très, très chère à mon cœur, partie en 2008- et avec mes 43 années d'études sur les pouvoirs du cerveau, je me dis que si quelqu'un devait avoir des informations sur l'après-vie, je serais sans doute plus à même que beaucoup d'autres pour ce faire. Comme je l'ai souvent indiqué, je ne crois pas en grand-chose.
L'orthoptiste m'écoute et quand je parle de Charbonnier, elle me dit: allez-le voir!
“Heu, cela m'étonnerait qu'il me donne la possibilité de lui parler. Il de doit écouter que les gens qui parlent de ses mêmes croyances; c'est toujours ainsi, il suffit qu'un idiot utile tombe précisément au moment où une personne se pose des questions et hésite entre deux solutions pour que l'idée devienne acceptable à cette dernière. Pourtant, Charbonnier était bien parti en disant que notre cerveau ne contient pas tous nos souvenirs et qu'ils devaient se trouver, ailleurs mais qu'il était instantanément possible de les retrouver et les raconter“.
J'appelle cela “l'agrégation“: Tout être a la faculté de vibrer, cette vibration pouvant être reçue et enregistrée dans l'inconscient collectif (Cf. Jung). La vibration vous relie à l'inconscient collectif ou à ces “annales akashiques“ où sont vivantes toutes les pensées, toutes les émotions, tous les souvenirs de tous les humains qui nous ont précédés. Cette vibration contient aussi individuellement votre vie, vos bonheurs, vos souffrances d'une manière détaillée et précise. Cet agrégat de nos sentiments sont dans un “sac“? ou un “tiroir“, bref, donnez-lui le nom que vous voulez.
L'orthoptiste m'a dit qu'elle a lu un de ses ouvrages. J'ai dis: pas moi. Inutile d'engraisser les auteurs de bouquins quand on sait d'avance ce qui est écrit. Puis, surprise, elle me dit: “il est ici“. “Vous êtes sûre? je croyais qu'il était à la Clinique de L'Union!
“Non, non…. il est ici
“Ben, si vous le croisez, dites-lui qu'il se fourvoie en écoutant les médiums qui sont, soi-disant, l'oreille attentive des morts!". Mais, elle me répond que non, elle ne le fera pas. Ce n'est pas son problème semble-t-elle faire accroire. Je pense surtout que Carbonnier est un “ponte“ et qu'elle n'a pas fait les mêmes études; le voisinage de travail ne doit pas lui sembler une ouverture à parler à ce monsieur…. les relations entre gens de médecine sont un peu incompréhensibles aux profanes.
J'en reviens à Psychologies Magazine. Au moment où j'écris, j'ai à peine survolé les articles. J'y lis pourtant qu'il y a un interview de Stéphane Allix, dont j'avais pu apprécier les reportages vus sur M6 et une autre “petite chaîne“. Ces reportages m'ont parus très sérieux, bien documentés. Il a, bien sûr, écrit un livre comme indiqué dans le magazine. Je vous écris le laïus: L'indispensable – Le test de Stéphane Allix
En juin 2013, le père de l'auteur décède. Avant sa disparition, le journaliste avait évoqué avec lui la possibilité qu'il puisse se manifester après sa mort.
Stéphane Allix glisse dans le cercueil quatre objets et un mot qu'il est le seul à connaitre.
Puis, il consulte 6 médiums. Quatre sont capables de découvrir ce qu'il avait caché.
Pour lui, pas de doute: son père est intervenus au cours des séances.
Fascinant (écrit le critique du livre).
Et puis, on indique sa page Facebook dans laquelle Stéphane Allix partage ses recherches et raconte les expériences qui l'on transformé.
Dans ses reportages, Stéphane Allix est allé interviewer des médiums américains. Je ne doute pas que la plupart des 6 médiums contactés par lui sont des U.S.A. Je ne crois pas que l'on est beaucoup de ces aussi puissants médiums en France. Comme je sais quels sont les puissants pouvoirs de notre télépsychie, je n'ai pas besoin de lire ces soi-disant preuves qui permettent de certifier que la vie après la mort existe.
Monsieur Stéphane Allix, pardonnez-moi d'infirmer vos propos: je dois vous dire que ces preuves sont surtout la certitude que les 4 médiums qui on trouvé la nature des objets dans le cercueil sont d'exceptionnels très bons voyants.
Rien à voir avec votre papa. Toutes mes condoléances pour cette perte immense… mais vous ne pouvez pas contacter l'esprit de votre père, ce n'est pas lui qui vous transmet des messages.

La réincarnation

dimanche 5 juin 2016, 10:28
Certaines religions orientales le considèrent comme une vérité: notre corps est envahi, pendant la naissance, de la vie antérieure de quelqu'un disparu…. qui pourrait être homme, femme, enfant et même, totalement absurde animal ou brin d'herbe.
Vous ne doutez pas un instant que des tas d'escrocs ont récupérés ce phénomène pour vous indiquer qui vous êtes la réincarnation, contre bel et bon argent. Pour sûr, vous apprendrez que vous êtes la ré-incarnation de la servante de Néfertiti et de Constant le majordome de Napoléon, tandis que l'escroc vous dira en confidence qu'il est la réincarnation de Cléopatre ou de Louis XIV. C'est même à cela qu'on reconnait les imbéciles: ils seront toujours des rois, reines et empereurs et vous, seulement un paysan, une servante et pourquoi pas Hitler?
N'en déplaise à tous ces escrocs, le phénomène de réincarnation n'existe pas. A votre naissance, vos parents vous ont donné nom et prénom. Ils sont votre vibration personnelle qui résonne dans l'espace. Tout être a la faculté de vibrer, cette vibration pouvant être reçue et enregistrée dans l'inconscient collectif (Cf. Jung). La vibration vous relie à l'inconscient collectif ou à ces “annales akashiques“ où sont vivantes toutes les pensées, toutes les émotions, tous les souvenirs de tous les humains qui nous ont précédés. Cette vibration contient aussi individuellement votre vie, vos bonheurs, vos souffrances d'une manière détaillée et précise.
Le film de votre vie existe là, dans cet inconscient collectif. Votre vibration est comme un sac invisible qui plane au dessus de vous et qui se rempli au fur et à mesure de vos pensées et des détails de votre vie. Par VOS émissions de pensées. Car notre cerveau émet des ondes invisibles qui peuvent influencer les autres, soi-même, l'inconscient collectif qui, lui, anime l'humanité. Ces ondes invisibles sont à l'image d'empreintes digitales, chaque cerveau possède les siennes. Lorsque vous décédez, ce sac vibratoire se détache de votre corps éteint et navigue dans l'inconscient collectif. Il en fait parti pour toute l'éternité, à la fois individuel et baigné dans l'océan de la vie. Tout est dans l'Un et l'Un est dans Tout.

Seuls ceux qui ont la faculté de se détacher des émotions primaires et des vouloirs matérialistes comme le font certains voyants, peuvent accéder à ces “tiroirs“  et raconter la vie de ceux qui nous ont précédés. S'y trouvent également la vie de ceux qui naîtront et vivront dans le futur. Il y a une théorie scientifique pour expliquer cela. Mais, je ne puis l'expliquer, je ne suis pas -du tout- astrophysicienne, je ne suis qu'une modeste voyante ayant la capacité de voyager dans le passé et l'avenir.
Les autres personnes sur terre qui n'ont pas “entraînés“ leurs pouvoirs psychiques de la bonne manière, peuvent par hasard, ressentir des émotions en lisant un ouvrage historique sur la vie d'une personne décédée. Cela s'explique par ses empreintes mentales qui sont très proches de celles du décédé.
Il y a eu 108 millions d'êtres humains qui nous ont précédés et dont l'existence est dans l'inconscient collectif en matière d'agrégats psychiques de leur vécu. Et chaque humain à ses propres empreintes digitales. Uniques. Personnelles. C'est pour cela que pendant plus de 100 ans, la science policière a utilisé ces empreintes pour retrouver des criminels. Aujourd'hui, on fait appel à l'ADN parce que les techniques scientifiques ont évoluées rapidement depuis peu.
D'autres scientifiques ont démontrés qu'il était possible d'authentifier un individu de manière infaillible via ses ondes cérébrales. Les ondes cérébrales désignent communément l'activité électrique du système nerveux du cerveau, que l'on peut enregistrer et mesurer avec des appareils comme les électro-encéphalogrammes.
Depuis que je m'intéresse et étudie les phénomènes de cognition (voyance) et de rétrocognition (voyance dans le passé), j'ai toujours indiqué que le phénomène de ré-incarnation était nul et à ne pas croire. Mon intuition personnelle m'a toujours fait ressentir ce que j'indique plus haut. Les scientifiques le prouvent peu à peu.

NE PAS TOUT MELANGER!

vendredi 3 juin 2016, 08:43
Le cri de colère d'une personne qui s'intéresse aux phénomènes parapsychiques depuis 1973!
Par Mme Josyane JOYCE, voyante professionnelle à Toulouse depuis 1983
www.josyanejoyce.com
https://www.facebook.com/pages/Josyane-Joyce/799863383431240*
(Veuillez prendre note que, pour faciliter la lecture, le genre masculin inclut également le genre féminin dans ce document)
"…les cas de personnes en état de mort clinique capables de percevoir ce qui se passe autour d'elles et même à distance, alors que dans les quinze secondes qui suivent un arrêt cardiaque il n'y a plus d'activité électrique du cerveau décelable au niveau de l'électroencéphalogramme. Il faut se poser une question: la conscience peut-elle survivre à la mort de notre cerveau? Et si oui, d'où viennent ces informations que ramènent ceux qui ont vécu des EMI“." dit partout le Docteur Charbonnier .
Il m'est venu l'idée de chercher des informations sur ce médecin et ho, surprise et tristesse: je vois sur Facebook qu'il fait des conférences en expliquant que la NDE ou EMI est obligatoirement la preuve que la vie existe après la mort.
Non, vous tous qui croyez cela! Non! Il n'y a pas de vie après la mort…. ni paradis quelconque. Il existe ce que les bouddhistes appellent “les anales akashiques“ c'est-à-dire une sorte de mémoire cosmique, de nature éthérique, qui, telle une pellicule sensible, enregistre les événements du monde.
Helena Blavatsk, fondatrice de la Société théosophique nous le dit: Les oracles affirment que l'impression des pensées, des caractères, des hommes, et autres visions divines apparaissent dans l'éther. Les choses qui n'ont point de forme en prennent une et y sont figurées. C'est sur les indestructibles tablettes de la lumière astrale qu'est imprimée la représentation de chaque pensée que nous formons ; de chaque acte que nous accomplissons“.
Les annales akashiques présentent des analogies avec l'inconscient collectif proposé par Jung. L'inconscient collectif  qui vibre et nous rassemble tous (tout être humain vivant actuellement est ayant vécu depuis le début du temps des Hommes) c'est le dépôt constitué par toute l'expérience ancestrale depuis des millions d'années, l'écho des événements de la préhistoire, et chaque siècle y ajoute une quantité infinitésimale de variation et de différenciation. Il existe un inconscient collectif et un inconscient individuel pour chaque individu qui ont vécus ici bas. Il y a constamment interaction entre les deux. Les inconscients individuels sont rangés dans des sacs, des sortes de tiroirs.
Lorsque je conseille à une personne déprimée (qui n'arrive plus à se retrouver et dormir paisiblement), de se coucher en répétant tranquillement en pensée son prénom et son nom de naissance (nom de jeune fille pour les femmes mariées) afin de se relier à sa vibration qui est unique et personnelle et qui existe dans l'espace pour la créer organiquement et “vibrationnellement“ parlant. Je lui explique que la création du monde s'est faite selon deux possibilités qui ne peut heurter la conscience de quiconque:
Si vous croyez en dieu, du point de vue judéo-chrétien, “il n'y avait rien… puis Dieu à dit: que la lumière soit! et elle fut“….
Si vous ne croyez en rien d'autre qu'en la science: il y avait le vide sidéral, sorte de soupe cosmique. Tout à coup, une explosion et les mondes se sont créés.
Que vous choisissiez l'une ou l'autre explication qui vous convient le mieux selon votre nature spirituelle (en dehors de la religion mais en votre nature humaine) convenez que le fait de dire: que la lumière soit! ou qu'une explosion s'est produite, au commencement était le bruit (de la voix de dieu) ou de l'explosion.
A votre naissance, vos parents vous ont donné nom et prénom. Ils sont votre vibration personnelle qui résonne dans l'espace. Tout être a la faculté de vibrer, cette vibration pouvant être reçue et enregistrée dans les annales akashiques. La vibration qui vous relie à l'inconscient collectif ou à ces “annales akashiques“ où sont vivantes toutes les pensées, toutes les émotions, tous les souvenirs de tous les humains qui nous ont précédés. Cette vibration contient aussi individuellement votre vie, vos bonheurs, vos souffrances d'une manière détaillée et précise. Le film de votre vie existe là, dans cet inconscient collectif.
Votre vibration est comme un sac invisible qui plane au dessus de vous et qui se rempli au fur et à mesure de vos pensées et des détails de votre vie. Par VOS émissions de pensées. Car notre cerveau émet des ondes invisibles qui peuvent influencer les autres, soi-même, l'inconscient collectif qui, lui, anime l'humanité. Ces ondes invisibles sont à l'image d'empreintes digitales, chaque cerveau possède les siennes. Lorsque vous décédez, ce sac vibratoire se détache de votre corps éteint et navigue dans l'inconscient collectif. Il en fait parti pour toute l'éternité à la fois individuel et baigné dans l'océan de la vie. Tout est dans l'Un et l'Un est dans Tout.
Seuls ceux qui ont la faculté de se détacher des émotions primaires et des vouloirs matérialistes comme le font certains voyants, peuvent accéder à ces “tiroirs“  et raconter la vie de ceux qui nous ont précédés. S'y trouvent également la vie de ceux qui naitront et vivront dans le futur. Il y a une théorie scientifique pour expliquer cela. Mais, je ne puis l'expliquer, je ne suis pas -du tout- astrophysicienne, je ne suis qu'une modeste voyante ayant la capacité de voyager dans le passé et l'avenir.
Ceux qui, sans le savoir, possèdent une forte télépsychie, mélangent celle-ci avec des messages soi-disant venus de l'au-delà. Etant donné que tous les humains de la terre ont d'incroyables “pouvoirs télépsychiques“ sans le savoir, la plupart du temps, ou sans savoir comment les utiliser et/ou les contrôler, de nombreuses personnes croient recevoir des messages de l'au-delà, de leurs chers disparus et s'aventurent et aventurent d'autres gens sur des chemins et des croyances fallacieuses. Non, les morts ne parlent pas aux vivants.
Et heureusement, sinon, imaginez notre vie quotidienne si les plus de 108 milliards d'humains (Source: Estimations du Population Bureau du recensement des États-Unis - Wikipédia) qui sont déjà passés sur notre planète se mêlaient des affaires des gens ici-bas! (savez-vous que l'on estime que vers l'an 1 de l'ère chrétienne, le nombre total d'êtres humains vivant sur la planète était probablement de 300 millions?).
Et de quels droits seriez-vous meilleurs qu'un autre humain sur cette terre pour avoir un “téléphone“ direct avec d'autres humains décédés qui serait, eux, meilleurs que d'autres décédés? C'est votre chagrin qui vous fait croire cela. Laissez les morts en paix. Et vivez pleinement votre passage ici-bas.
Si vous vous pensez “investis“ d'une mission divine, mettez-là au service des abandonnés, des malades, des personnes handicapées. Et cessez de raconter n'importe quoi pour faire des conférences, des livres, des leçons aux autres: pour qui vous prenez vous?

"Il faut écouter les gens qui racontent l'au-delà"


Médecin anesthésiste-réanimateur; Jean-Jacques Charbonier publie Les 7 bonnes raisons de croire à l'au-delà.
Philippe Presles, médecin, auteur de" Tout ce qui n'intéressait pas Freud," est un spécialiste de la conscience.
Le Figaro Magazine - En quoi les expériences de mort imminente (EMI), rapportées par des témoins a priori crédibles, interrogent la science?
Jean-Jacques Charbonier - Ce qui m'interpelle le plus, ce sont les cas de personnes en état de mort clinique capables de percevoir ce qui se passe autour d'elles et même à distance, alors que dans les quinze secondes qui suivent un arrêt cardiaque il n'y a plus d'activité électrique du cerveau décelable au niveau de l'électroencéphalogramme. Il faut se poser une question: la conscience peut-elle survivre à la mort de notre cerveau? Et si oui, d'où viennent ces informations que ramènent ceux qui ont vécu des EMI.
Philippe Presles - Il existe des situations proches de celles des EMI, ce sont les expériences d'hyperconscience. Dans ces moments précis de nos vies, le temps se ralentit, le bruit s'estompe, la perception de soi peut disparaître alors que l'on acquiert une faculté de vision très détaillée de son environnement. On peut aussi entendre une voix. Cela arrive dans des accidents de la route. Mais ces situations d'hyperconscience sont aussi vécues par les soldats au combat, les sportifs de haut niveau ou les concertistes en phase de concentration intense. J'ai pu recueillir des témoignages assez fort et troublants sur ce point.
Les EMI ne seraient-elles qu'une interprétation différente d'informations contenues dans notre cerveau?
J.-J. Charbonier - Je ne crois pas. L'information ne vient pas toujours de notre cerveau. Prenons l'histoire de Pierre Jovanovic. Il est sur une route à Los Angeles et, brusquement, il entend une voix qui lui dit: "Il faut plonger en avant." Il le fait et une balle traverse le pare-brise et vient se loger dans son siège. Il existe des centaines de témoignages similaires. Et je ne compte pas les gens qui n'osent pas les raconter de peur de passer pour des hurluberlus.
P. Presles - La perception d'une voix se produit aussi en état d'hyperconscience. Cela m'est arrivé alors que je m'électrocutais. J'ai entendu ma voix me disant: "Tes jambes fonctionnent, cours dans la pièce à côté." Ça m'a sauvé la vie. L'aptitude de faire vivre en soi un autre soi-même est propre à la conscience. Ensuite, certains témoignages ne s'expliquent pas encore, notamment les phénomènes de prémonition.
La science refuserait-elle d'admettre qu'elle se trompe quand elle affirme que notre conscience meurt avec nous?
P. Presles - Il est faux de dire que la science ne s'intéresse pas à ces phénomènes. On a découvert, par exemple, qu'en stimulant une zone du cerveau temporo-pariétal, on peut provoquer des vécus de décorporation (sortie de son propre corps, ndlr), ce qui correspond souvent à la première phase des EMI. Les témoignages d'expériences extraordinaires sont recueillis et étudiés de plus en plus sérieusement.
J.-J. Charbonier - La majorité des scientifiques sont curieux, mais dès qu'un phénomène les dérange, ils l'écartent. La théorie qui consiste à dire que le cerveau est un organe qui fabrique de la conscience n'est pas valable à mes yeux car elle n'intègre pas les expériences de mort provisoire et les phénomènes connexes, la médiumnité, la prémonition, la télépathie, les intuitions... Je propose une théorie, celle d'une conscience analytique reliée à nos cinq sens qui nous permet de nous situer dans le temps et dans l'espace. Mais cette conscience analytique fait un tel bruit qu'elle empêche notre conscience intuitive de nous parler... La conscience analytique s'efface avec la mort de notre cerveau et cela débloque tout.
Mais soyons clair, cette conscience intuitive qui survivrait à la mort et ferait partie d'un tout, ça s'appelle l'âme, et ce tout, l'au-delà. C'est un discours religieux?
J.-J. Charbonier - Je crois qu'il ne faut pas confondre avec le religieux. Je pense qu'il existe des champs de conscience universelle, composés de consciences ayant existé sur cette planète et venant de l'au-delà, et puis nos consciences intuitives que nous sommes rarement capables d'entendre.
P. Presles - N'allons pas trop vite. Si quelqu'un est effectivement mort cliniquement et qu'il "ressuscite", il y a deux hypothèses. La première, que la personne a effectivement ressuscité, et nous sommes dans le spirituel. La seconde, qu'elle n'était pas vraiment morte, que ces cellules ont continués à fonctionner suivant un mode que nous ne sommes pas encore capables de mesurer. A ce stade, il faut rester ouvert mais rigoureux.
Tout cela s'expliquerait-il par une grande méconnaissance du fonctionnement de notre cerveau?
P. Presles - Cette connaissance augmente mais reste faible par rapport à son immensité. Aujourd'hui, on peut dire que la complexité du cerveau humain est comparable à celle de l'Univers et ce que nous savons de l'Univers est formidable mais très limité.
J.-J. Charbonier - Je suis d'accord. Mais je persiste à dire que des témoignages prouvent que l'information n'est pas toujours stockée dans le cerveau. Le cas de Pamela Reynolds est très intéressant. Cette femme se fait opérer d'un anévrisme du cerveau. Les médecins arrêtent sa circulation cérébrale pendant plusieurs minutes et refroidissent son cerveau à 15,5 °C, température à laquelle aucun échange biochimique entre deux neurones n'est possible. Tous les temps opératoires sont rigoureusement notés pendant l'opération. À son réveil, Pamela Reynolds décrit toute son intervention, raconte les conversations, décrit les instruments du chirurgien... Elle n'a pas pu enregistrer ça avec son cerveau puisqu'il ne fonctionnait plus. Nous avons là une preuve scientifique, me semble-t-il.
P. Presles - En pratique, le cerveau de Pamela Reynolds a toujours été vivant et il n'a jamais arrêté de fonctionner. L'hypothèse qu'à cette température le cerveau fonctionne d'une manière différente ne peut pas être écartée. Une expérience japonaise avec une guenon chimpanzé est assez intéressante sur les niveaux de conscience. On lui présente dix chiffres, qu'elle voit quelques dizaines de secondes. On efface les dix chiffres et elle doit les repositionner. Etrangement, elle le fait sans erreur.
Des enfants qu'on soumet au même test n'arrivent à retrouver que quelques chiffres et les adultes sont très vites bloqués. Cela illustre que la conscience est une véritable surcouche de traitement d'informations. Cette surcouche nous permet d'analyser, d'approfondir, de nous projeter dans le passé et dans l'avenir, mais cela nous coupe aussi de beaucoup de perceptions. Dans les situations extrêmes, cette sur-couche pourrait être amoindrie, nous ouvrant à nouveau à des perceptions intuitives, comme celles des animaux, par exemple.
La science, un jour, pourra- t-elle prouver l'existence d'un au-delà?
J.-J. Charbonier - Peut-être. A condition qu'on dépasse la science matérialiste qui domine aujourd'hui le débat scientifique.
P. Presles - Je réponds aussi peut-être, mais je n'aime pas opposer le matérialisme à une autre forme de science. J'aime l'approche de Descartes, le réductionnisme. Tant qu'on ne comprend pas un phénomène global, on le divise en sous-phénomènes jusqu'à ce qu'on en cerne un. Et ainsi de suite. Face aux questions que nous avons évoquées, il faut recueillir le maximum d'informations et définir rigoureusement les expériences pour espérer y voir clair un jour.
Plus sérieusement le mécanisme de la conscience et de la pensée résultent "du travail" de de nos neurones. Si notre conscience et notre pensée résultaient d'autre chose nous n'aurions pas de neurones elles ne serviraient à rien. Quand elles sont détruites partiellement par accident ou maladie on voit bien le résultat hélas. Quand elles sont mortes il n'y a plus rien l'âme éternelle est le fruit de notre imagination, nous avons du mal à accepter qu'il n'y a plus rien après la mort, et pourtant c'est ainsi. Il n'y a rien d'effrayant dans ce fait puisque quand vous serez mort vous n'en aurez pas conscience. Croire à l'au-delà n'est pas plus réconfortant
Si une conscience indépendante du corps existe, il faudrait chercher à comprendre ce qui fait interface entre cette conscience et le corps.
Le rapport conscience/cerveaux est il comparable au rapport utilisateur/ordinateur. La mort de l'ordinateur, qui permet d'accéder à la vie dans le monde virtuel, ne veut pas dire aussi la mort de son utilisateur dans le monde réel.
Il y a bien la démonstration d'au moins deux univers, réel et virtuel, d'autres existent peut être aussi.

Voyance à Toulouse

Etrange?

lundi 9 novembre 2015, 11:35
À 94 ans, cette chinoise est sortie du coma en ayant "oublié" sa langue maternelle
Admise à l'hôpital suite à un infarctus cérébral, la vieille dame s'est réveillée deux semaines plus tard en ne pouvant plus s'exprimer qu'en anglais, une langue qu'elle n'avait plus parlé depuis 30 ans.
Liu Jieyu, une chinoise de 94 ans, ancienne professeure d'anglais, s'est réveillée d'un coma de deux semaines en ayant totalement oublié sa langue maternelle.
L'histoire est assez incroyable : Liu Jieyu, une chinoise de 94 ans, ancienne professeure d'anglais, s'est réveillée d'un coma de deux semaines en ayant totalement oublié sa langue maternelle, le chinois. Son seul moyen de communication? Un anglais parfait qu'elle n'avait plus vraiment pratiqué depuis sa retraite, 30 ans auparavant, selon sa famille citée par Central European News. Les médecins chinois sont restés stupéfaits en entendant les premiers mots de leur patiente : "Where am I ? What is happening ?" (Où suis-je ? Que se passe-t-il ?). Un médecin anglophone est alors rapidement appelé au chevet de la patiente pour confirmer l'improbable.
Liu Jieyu avait été admise à l'hôpital de Changsha dans la province du Hunan après un infarctus cérébral, un type d'accident vasculaire cérébral aussi appelé accident ischémique transitoire provoqué par une diminution plus ou moins importante du débit sanguin dans le cerveau. Un phénomène qui provoque une diminution importante de l'oxygénation des cellules du cerveau qui, de fait, peuvent être sévèrement atteintes.

Feng Shui 

vendredi 20 mars 2015, 14:57
Cela semble récent, mais il s'agit en fait d'une philosophie chinoise ancienne datant du 3° siècle avant notre ère, lorsque la Grande Muraille de Chine était en pleine construction" explique un spécialiste pratiquant. "Après qu'ils aient terminé les 2000 premiers kilomètres d'un mur destiné à protéger des invasions barbares venues du Nord, le travail se mit à ralentir parce que les ouvriers, lassés, se mettaient au travail dans de mauvaises conditions et de mauvaise humeur. L'Empereur convoqua donc des experts feng shui. Ces spécialistes du Ch'i examinèrent immédiatement le nombre de virages brusques que les travailleurs devaient réaliser avant d'arriver sur leur lieu de travail, et ils découvrirent en effet qu'une exposition prolongée à des angles trop aigus exerçait une influence catastrophique sur la productivité des hommes. Et comme tout observateur du Ch'i un tant soit peu éclairé le sait parfaitement : le Ch'i négatif s'infiltre à travers les trous dans l'univers via les intersections microscopiques où deux bouts ne s'ajustent pas parfaitement. C'est ainsi que le feng shui, la "science" qui fait en sorte que le voyageur soit en harmonie complète avec l'espace physique dans lequel il se meut, vint au monde“.

Comment on devient alchimiste - 1

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jeudi 19 février 2015, 09:39
Le mythe de Nicolas Flamel alchimiste est le résultat de plusieurs phénomènes de la tradition alchimique. Tout d'abord, à partir du XVe siècle, la croyance en l'origine alchimique de certaines fortunes bourgeoises du Moyen Âge: outre Flamel (le plus connu), ce fut le cas de Jacques Cœur (c. 1400-1456) de Nicolas le Valois (c. 1495-c.1542) (la plus grosse fortune de Caen et fondateur de l'hôtel d'Escoville), ou encore du marchand allemand Sigmund Wann (c. 1395-1469). Ensuite la pseudépigraphie, par laquelle on attribua des traités alchimiques à des autorités antiques (Aristote, Hermès Trismégiste, etc.) ou médiévales (Albert le Grand, Thomas d'Aquin, Raymond Lulle, Arnaud de Villeneuve...), pour compenser "la marginalité d'une discipline qui ne fut jamais vraiment intégrée au savoir universitaire".
Enfin, avec la Renaissance, "le recours au langage allégorique et au symbolisme pictural devient systématique" dans les textes alchimiques; cela entraîne, à partir du milieu du XVIe siècle une "exégèse alchimique" qui recherche un sens caché tant dans les textes bibliques que dans les récits de la mythologie gréco-romaine (notamment la légende de la Toison d'or), et enfin dans les décorations symboliques de l'architecture médiévale.
La plus ancienne trace de cette légende est un texte de la fin du XVe siècle, Le Livre Flamel, qui est en fait la traduction française d'un traité en latin du XIVe siècle, le Flos florum (La Fleur des fleurs), attribué alors à Arnaud de Villeneuve. Ce texte connut une certaine diffusion, et une version courte en fut traduite en anglais au milieu du XVIe siècle. D'autres traités furent attribués à Flamel au cours du XVIe siècle. C'est notamment le cas du Livre des laveures, qui est en fait la traduction française du Rosarius traité latin du XIVe siècle de l'alchimiste anglais John Dastin: sur un manuscrit du XVe siècle, le nom du possesseur a été gratté et remplacé par celui de Flamel.
La figure des deux dragons, à l'origine de l'interprétation alchimique de l'arcade de Nicolas Flamel, à qui l'on attribua le poème du Sommaire Philosophique :
Ces deux spermes-là, sans doubtance,
Ont figurez par deux dragons,
Ou serpens pires, se dict-on:
L'un ayant des ailes terribles,
L'autre sans aile, fort horrible.
Le dragon figuré sans aile,
Est le soulphre, la chose est telle,
Lequel ne s'en vole jamais
Du feu, voilà le premier mets.
L'autre serpent qui ailes porte,
C%est argent vif, que vent emporte,
Qui est semence feminine,
Faicte d'eau & terre pour mine.
Pour tant au feu point ne demeure,
Ains s'envole quand veoit son heure.
Dans le même temps apparaît l'idée qu'un sens alchimique est caché dans les figures allégoriques religieuses qui ornent les arcades du cimetière des innocents.
La première trace se trouve dans le livre De antiquitate et veritate artis chemicæ (De l'antiquité et de la vérité de l'art chimique) (1561) de l'alchimiste Robert Duval (traité qui sera placé en tête du premier volume de la grande anthologie alchimique le Theatrum Chemicum de 1602): "À cette catégorie de fictions appartient l'énigme de Nicolas Flamel, qui figure deux serpents ou dragons, l'un ailé, l'autre non, et un lion ailé, etc". Cette idée se retrouve également dans des commentaires en prose de la seconde moitié du XVIe siècle du poème Le Grand Olympe (qui fait une interprétation alchimique des Métamorphoses d'Ovide). Toujours en 1561, Robert Duval, dans son recueil de poèmes alchimiques De la Transformation métallique : Trois anciens tractés en rithme françois, attribua à Flamel le Sommaire philosophique, sans doute parce qu'il présentait également le motif des deux dragons (le dragon étant un des principaux symbole alchimique).
Le poème, qui s'adresse à "Qui veult avoir la cognoissance / Des metaulx & vraye science / Comment il fault transmuer / Et de l'un à l'aultre muer", reprend la théorie alchimique classique qui veut que tous les métaux soient composés de deux "spermes": le soufre, fixe et masculin, et le mercure (vif-argent), volatil et féminin.
A suivre.....

Comment devient-on alchimiste - 2

dimanche 22 février 2015, 10:39
La légende fut reprise plusieurs fois de 1567 à 1575 par l'influent médecin paracelsien Jacques Gohory. Il s'y mêla alors un des topos les plus éculés de la littérature alchimique depuis la Table d'émeraude, et qui convenait bien au libraire Flamel : la découverte d'un ancien livre contenant le secret de la Pierre philosophale.
C'est tout d'abord Noël du Fail qui l'introduisit en 1578 en citant, à l'appui des guérisons miraculeuses de Paracelse, les plus célèbres alchimistes parmi lesquels "Nicolas Flamel, Parisien, lequel de pauvre escrivain qu'il estoit, & ayant trouvé en un vieil livre une recepte métallique qu'il esprouva fut l'un des plus riches de son temps, temoings en sont les superbes bastiments qu'il a faicts au cemetiere S. Innocents, à Saincte Geneviefve des ardens, à S. Jaques de la Boucherie, où il est en demy relief, avec son escritoire au costé, & le chaperon sur l'espaule estimé riche luy & sa Perronelle (c'estoit sa femme) de quinze cens mille escus, outre les aumosnes & dotations immenses qu'il feist“. L'idée fit son chemin, car on la retrouve en 1592 dans une note en fin d'un manuscrit d'un texte alchimique La Lettre d'Almasatus.
La légende se popularisa à tel point qu'elle se vit moquée en 1585 par Noël du Fail (qui avait semble-t-il changé de position) dans ses Contes et Discours d'Eutrapel (1585), cependant que Flamel apparaissait comme alchimiste et auteur du Sommaire Philosophique dans les notices des Bibliotheques françoises de La Croix du Maine (1584) et d'Antoine du Verdier (1585). La Croix du Maine rapporte d'ailleurs des rumeurs qui couraient alors, selon lesquelles la richesse de Flamel ne venait pas de ses talents d'alchimiste, mais du fait qu'il se serait approprié les créances des juifs, alors chassés de Paris (Charles VI avait signé un édit d'expulsion en 1394). C'est pour dissimuler ce fait qu'il aurait fait croire qu'il avait découvert la Pierre philosophale, et aurait financé des fondations pieuses.
Elle passa les frontières en 1583, le paracelsien belge Gérard Dorn, traduisant en latin des passages du Sommaire philosophique, et on la retrouve en Allemagne en 1605 et en Angleterre en 1610.
Tous les ingrédients étaient réunis pour qu'apparaisse en 1612 l'ouvrage le plus connu attribué à Flamel : Le Livre des figures hiéroglyphiques.
Le Livre des figures hiéroglyphiques
Couverture Trois traités de la philosophie naturelle.
En 1612, paraît à Paris Trois traitez de la philosophie naturelle non encore imprimez, par Pierre Arnauld sieur de la Chevallerie, Poitevin. Outre deux traités en versions latine et française d'Artéphius et de Synésius, on y trouve un texte en français: " Les figures hierogliphiques de Nicolas Flamel, ainsi qu'il les a mises en la quatrième arche qu'il a battie au Cimetiere des Innocens à Paris, entrant par la grande porte de la rue S. Denys,& prenant la main droite ; avec l'explication d'icelles par iceluy Flamel“.
L'ouvrage se présente comme la traduction du latin d'un texte de Flamel écrit entre 1399 et 1413. Reprenant le topos de la littérature alchimique de la découverte d'un livre ancien, Flamel y raconte qu'il a acquis pour deux florins un mystérieux et ancien livre en latin, fait de " trois fois sept feuillets" d'écorce reliés dans une couverture de cuivre " toute gravée de lettres et de figures". Sur le premier feuillet on trouve le titre " LE LIVRE D'ABRAHAM LE JUIF, PRINCE, PRÊTRE LÉVITE, ASTROLOGUE ET PHILOSOPHE, À LA GENT DES JUIFS PAR L'IRE DE DIEU, DISPERSÉE AUX GAULES, SALUT. D. I. "]
Ce livre, écrit par un "homme fort savant", explique que, "pour aider sa captive nation à payer les tributs aux empereurs romains, et pour faire autre chose, que je ne dirai pas, il leur enseignait la transmutation métallique en paroles communes [...] sauf du premier agent duquel il ne disait mot, mais bien [...] il le peignait, et figurait par très grand artifice ". Le texte du livre d'Abraham le juif explique donc le processus du Grand œuvre (que Flamel ne répète pas) sans en préciser l'ingrédient initial, la materia prima (matière première des alchimistes), qui n'est donné que par des enluminures mystérieuses, qui sont décrites mais non reproduites dans Livre des figures hiéroglyphiques.
Malgré l'aide de son épouse Pernelle, Nicolas Flamel échoue au Grand œuvre pendant vingt-et-un ans (soit le même nombre d'années que le livre compte de feuillets) faute de comprendre les enluminures. Il part alors en pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle, où il rencontre un vieux médecin juif converti, qui lui explique enfin les illustrations.
De retour à Paris, il parvient enfin à transmuter du mercure en argent, puis en or, le 25 avril 1382: "Je fis la projection avec de la pierre rouge sur semblable quantité de mercure [...] que je transmutais véritablement en quasi autant de pur or, meilleur certainement que l'or commun plus doux et plus ployable".

Voyance, alchimie, ésotérisme

Ubiquité? Pouvons-nous être dans deux endroits différents? Oui !

vendredi 13 février 2015, 11:17
Vous et moi, pour commencer: nous pouvons être à la fois dans notre cuisine et en France, sur une chaise et sur une autre.
Mais cette réponse triche un peu: ce que vous-vous demandez est, plutôt, si nous pouvons nous trouver exactement à deux endroits à la fois.
On appelle cela: l'ubiquité. Explication de la réponse affirmative:
Lorsque nous sommes assis entre deux chaises, nous ne sommes pas exactement sur l'une et sur l'autre, mais seulement partiellement sur l'une et partiellement sur l'autre. Lorsque nous sommes en France et dans notre cuisine, nous ne sommes exactement ni dans notre cuisine, ni en France, car il y a des parties de la cuisine et de la France que nous n'occupons pas. Arrêtez la lecture et prenez le temps de réfléchir ou de reprendre la lecture jusqu'à ce point.
Reprenez:
Pour être exactement dans un endroit, il faut s'y trouver complètement, et occuper chacune des parties de cet endroit. Notre localisation exacte correspond au trou qui serait laissé dans le monde si nous disparaissions soudainement: elle a exactement la même forme, le même volume et la même extension que nous.
La question difficile est donc: existe-t-il des choses qui peuvent être exactement à deux endroits distincts au même moment?
Certains philosophes pensent que oui.
Considérez deux voitures sorties d'une même chaîne de montage. Elles ont exactement la même couleur, la même forme, le même poids, etc.
Les philosophes qui souscrivent au réalisme des universaux, pensent qu'il faut prendre cette dernière phrase au pied de la lettre, dans le sens suivant.
Il y a une seule couleur, disons le rouge, qui se trouve au même moment et entièrement dans chacune des voitures. Le rouge est une chose qui peut être à plusieurs endroits au même moment. De même pour la forme des voitures, ou leur poids. La forme, le poids, la rougeur sont appelés des propriétés. Les réalistes des universaux considèrent donc que les propriétés peuvent exister en plusieurs endroits au même moment.
Ont-ils raison?
C'est un très vaste débat, mais on peut mentionner ici trois objections.
La première vient des nominalistes, leurs principaux adversaires, à qui l'ubiquité fait horreur. Ils soutiennent que nous ne devons pas prendre au pied de la lettre les expressions du type "a et b possède la même propriété F". Selon les nominalistes, ce qui rend vraies de telles phrases est seulement que les deux voitures se ressemblent sous l'aspect de la couleur, ou encore que la rougeur n'est que partiellement localisée dans chacune des deux voitures, à la façon donc nous pouvons être partiellement assis sur deux chaises.
Une seconde objection au réaliste relativement à votre question est qu'il a déformé l'usage du mot "chose". Vous vouliez savoir si deux choses peuvent être à plusieurs endroits au même moment, à quoi le réaliste des universaux répond que les propriétés peuvent l'être. Mais les propriétés ne sont pas de choses, peut-on être tenté de dire. Il y a peut-être en fait deux concepts de "chose" : un concept étroit qui fait référence à des objets macroscopiques solides tri-dimensionnels.
En ce sens de choses, il est vraisemblable qu'une même chose ne puisse être à différents endroits au même moment. Mais il existe également un concept large de "chose", qui fait référence à tout ce qui existe ou pourrait exister, à toute entité. En ce sens large de choses, les propriétés sont des choses et il existe des choses qui peuvent se trouver à plusieurs endroits au même moment.
La troisième objection au réaliste des universaux est qu'il a peut-être tort de considérer que la couleur et la forme de la voiture sont localisées dans la voiture. Ce qui possède une localité, qui se trouve à un endroit, est la voiture. Mais la relation entre la voiture et ses propriétés n'est pas une relation de localisation. La voiture a ou possède une forme, mais elle n'est pas occupée par une forme.
De même, si la question "Où est la voiture? " semble parfaitement sensée, la question "Où est la forme de la voiture ?" semble nettement plus bizarre. Peut-être est-ce une erreur que d'attribuer aux propriétés une localisation. Si c'est le cas les propriétés ne sont pas des exemples de choses qui peuvent se trouver exactement à plusieurs endroits au même moment, pour la simple raison qu'elles ne se trouvent nulle part.
PS: A vrai dire, tous les réalistes des universaux ne formulent pas leur position en termes d'ubiquité des propriétés. Une formulation plus prudente, qui échappe à cette dernière objection consiste à dire qu'une même propriété peut être entièrement "eue" (ou encore: possédée, exemplifiée) par deux choses au même moment, sans mentionner la relation de localisation. Mais cette version de la thèse ne permet plus de répondre à votre question...



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